Chocolat-addicts, les Français dépensent 268 euros par an en chocolats

(Photo: Madame.lefigaro.fr)

Les Français sont de vrais chocolat-addicts. Une grande majorité d'entre eux dépensent 268 euros de chocolat chaque année, soit des achats hebdomadaires de plus de 5 euros. Nous sommes même un sur dix à avoir un un budget-chocolat annuel de 370 euros ! Une appétence qui ne semble pas impactée par la crise, les 3/4 d'entre nous disant en consommer "autant qu'avant". Nous sommes plus d’un tiers (35%) à en croquer tous les jours, 83% à en manger au moins une fois par semaine. Ceux qui n’aiment pas du tout le chocolat (cela existe...) sont minoritaires, ils sont moins de 1%. Côté choix, les grands classiques ont la cote : le chocolat noir arrive en tête du palmarès des chocolats préférés des Français (84%), suivi du au lait (84%) et du blanc (61%). Le chocolat allégé ferme le classement (16%) et seulement un tiers (34%) s’adonne aux créations telles que les chocolats épicés.

Pour 9 Français sur 10, manger du chocolat est un plaisir, pour un tiers (33%) une source de réconfort, et pour 4% un aphrodisiaque. Pour un Français sur cinq (20%) c’est un remède contre le stress et pour 10% une véritable addiction. Les femmes sont trois fois plus nombreuses que les hommes à faire face à une situation de stress avec du chocolat (29% vs 11%) et deux fois plus nombreuses que les hommes à en manger quand elles s’ennuient (24% vs 10%) ou quand elles sont tristes (19% vs 7%). Tous genres confondus, nous sommes 58 % à avouer terminer la journée en douceur avec un morceau de chocolat le soir, devant la télévision.

Si 86% des consommateurs achètent leurs chocolats au supermarché, ils sont deux fois moins nombreux à se diriger vers les boutiques spécialisées (42%) ou les chocolatiers et pâtissiers indépendants (37%).

Ma-reduc

(*) Sondage en ligne réalisé entre du 20 au 25 septembre 2013  par l’institut LH2 auprès d’un échantillon de 1011 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, profession de l’interviewé, après stratification par région. Les données ont été redressées pour limiter les biais d’un recours à des internautes panélisés et atteindre une juste représentativité des Français âgés de 15 ans et plus.